• Ce Site social est le résultat de la créativité d’un jeune homme connu sous la tutelle de Booba Vassy Kamara(KAM'SO) qui a pris l’initiative de le créer(Comme il a l'a fait pour d'autres sites sociaux) en vue de regrouper ceux et celles la qui ont en commun la belle ville de YAMOUSSOUKRO qui se veut être une VILLE de Paix et d'excellence comme l'a toujours voulu le père fondateur FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

    Ce groupe a été crée afin de permettre à tous les membres et jeunes de Yakro et du monde entier de se rencontrer et de faire du business,à travers des expositions des articles et marchandises à leur portée,Aussi permettre de renforcer les liens d'amitié entre les membres.

    En outre YBM est un groupe ouvert a toute personne se sentant proche de YAKRO , et ce qui fait sa

    Donc les fidèles membres du groupe YBM au delà du cadre de la socialisation sans distinction de race , d’ethnie , de genre ou de religion auront le plaisir d'échanger voir de se rencontrer.

    Merci à tous,

    BOOBA VASSY KAMARA

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Brou Koffi est un inventeur de nationalité ivoirienne passionné d'électronique depuis son enfance, et qui a toujours voulu comprendre les mécanismes de fonctionnement des appareils électroniques.

    Né en 1983, il fabrique, à l'âge de 14 ans, un transmetteur FM qui diffusait les matchs de foot de son quartier. A 15 ans, il met au point un émetteur d'une portée de 100 m et, en 2000, alors âgé de 17 ans, il met au point un talkie walkie qui lui permettait de communiquer avec ses amis. 2002 est une année marquante dans la vie de Brou Koffi. Il a 19 ans et développe un émetteur FM d'une portée de 15 km et qui a fait l'objet d'un reportage sur la deuxième chaîne de télévision ivoirienne au cours d'une émission dédiée aux jeunes inventeurs.

    Sa passion ou sa vocation pour l'invention va le contraindre à abandonner ses études en classe de 3ème. Et pourtant, il invente sans avoir suivi d'études d'ingénieur. Comme il le dit lui-même, " c'est un don ". Toutefois, il précise qu'il lit des livres d'électronique pour comprendre les principes de base.

    Comme la plupart des inventeurs africains, ce jeune inventeur ivoirien manque de moyens financiers pour aller de l'avant. Aussi, pour subvenir à ses besoins et continuer à autofinancer certaines de ses inventions, Brou Koffi maintient et dépanne des appareils électroniques.

    Une de ses dernières inventions est un boitier qui protège les appareils électroniques et ménagers, les stabilisateurs et les élévateurs de tension en cas de forte perturbation sur le réseau électrique. Ce boitier est branché à une prise de courant. On peut ensuite raccorder d'autres appareils au boitier. Une fois branché, le boîtier met la tension (220 v) en attente. Cette phase d'attente est signalée par une LED clignotante rouge qui se trouve sur le boîtier. Après 30 secondes, la LED rouge s'éteint et l'appareil laisse passer le courant électrique vers les appareils qui lui sont raccordés. Cette phase est signalée par une LED verte.

    En résumé, en cas de perturbation sur le secteur, la LED rouge clignote. Le courant n'est plus distribué aux appareils qui sont branchés sur le boîtier. Après cette attente, au cours de laquelle le courant est stabilisé, le boîtier laisse enfin passer le courant électrique ; ce que signale alors la LED verte. Le nom donné à cette invention par son inventeur est " Prise Electronique Protecteur " dont l'acronyme est P.E.P.

    Il est vrai que l'Afrique a des problèmes de formation et de soutien aux inventeurs ; mais elle ne manque pas de talents. C'est un manque de vision, érigé en politique à l'échelle continentale, qui mine l'avenir d'une Afrique qui veut pourtant se développer et s'industrialiser.

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • Né le 13 mai 1980 à Abengourou (ville située à l’est de la Côte d’Ivoire), c’est à Abidjan que MUSS fait ses premiers pas dans le monde de la musique, dès l’âge de 10 ans.

    Initié à cet art par son grand frère, le producteur à succès TONY ADAMS, c’est à treize ans, qu’il sort son premier album et est hissé au rang d’enfant star avec ses acolytes de la formation M.A.M. Cadet du trio, il a su s’imposer quelques années plus tard grâce à son flow original et à la maturité de ses textes.

    A cheval entre la France et la Côte d’Ivoire depuis plus d’une décennie, MUSS sort en 2006, son premier album solo qui s’intitule « MON EPOQUE ». Cet album, atteste de sa maturité artistique et retrace les différentes étapes d’une vie pleine d’émotions.

    En plus de son talent, son ouverture d’esprit et sa sympathie lui ont permis de connaître plusieurs collaborations: de TIKEN JAH FAKOLY à TONTON DAVID en passant par JACOB DESVARIEUX du groupe KASSAV, pour ne citer que ceux-là.

    Dans son élan, MUSS ajoutera une autre corde à son arc en se formant au métier de réalisateur dans le domaine du cinéma. Il a à son actif la réalisation des clips de plusieurs artistes d’horizons divers tel que: ALPHA BLONDY, les DÉESSES, FACTEUR X, MAGIC SYSTEM et bien d’autres.

    Membre fondateur du groupe « BOSS PLAYA », un label indépendant représenté tant en Europe qu’en Afrique, il est l’un des plus jeunes investisseurs du secteur de l’industrie musicale en Afrique.

    Fort donc d’une expérience musicale de plus d’une quinzaine d’années, MUSS est vu par ses paires comme l’un des artistes les plus prometteurs du continent.

    Panafricaniste et très rattaché à ses valeurs culturelles, MUSS rêve d’une Afrique forte, unie et prospère. Il espère voir un jour naître : les ÉTATS-UNIS D’AFRIQUE.

     

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • OALALALALALAPoésie: le joueur et la marionnette
    Il parait que tu t'appelles Messi, la Marketing Puppet de Blatter.
    Le barca joue pour toi,
    L'argentine joue pour toi,
    La presse t'a fabriqué ok.
    Mais moi je suis Gotze
    Et je ne fait pas de publicité
    Au contraire je joue pour mon equipe et non le contraire,
    Puis je marque un seul but et ça suffit sans distraire
    Moi je marque contre les grands
    Et toi tu marques contre l'Iran
    Je marque une vie
    Toi tu marques la Bosnie
    Vas avec ton trophée
    Je pars avec mon trophée
    D'apès la KAM'SO

    FHOUMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Histoire du Celèbre AbrahomicRoman Abramovitch, 40 ans

    Nationalité : Russe
    Fortune : 18,7 milliards de dollars

    Pour réussir,il n'y a pas d' excuse.Voici l'histoire touchante du célèbre milliardaire.

    Roman Abramovitch nait dans une famille juive. Peu après sa naissance, sa mère Irina tombe à nouveau enceinte ; elle décide d’avorter, mais l’opération provoque une septicémie dont elle meurt alors que son fils n’a que 18 mois. A l'age de quatre ans, il perd son père Arkadi des suites d’un accident. Il est alors élevé par son oncle paternel, Leib Abramovitch, à Oukhta (à 1 300 km de Moscou), jusqu’à ses huit ans, puis à Moscou par un autre oncle, Abraam. Il poursuit ses études quand il est incorporé dans l’armée soviétique. Après son service militaire, il intègre le prestigieux Institut du pétrole et du gaz de Moscou, qu’il abandonne pour se lancer dans les affaires. Il obtient pourtant un diplome de pétrochimie. Bien plus tard, en 2000, il obtient un diplome de l’Académie de Moscou.

    La carrière d'Abramovitch commence en 1987 en qualité de mécanicien dans une entreprise du batiment de Moscou. A partir de janvier 1989 jusqu'en mai 1991, il démarre ses activités commerciales en utilisant une réforme (Perestroika) du président soviétique Mikhail Gorbatchev qui autorise la création de petites entreprises privées, les coopératives. Il dirige une coopérative nommée Uyut qui se spécialise dans la fabrication de jouets en polymères. Avec l'éclatement de l'Union soviétique et la libéralisation massive de l'économie, Abramovitch s’intéresse aux affaires boursières et devient trader. Il figure parmi les premiers à s'intéresser à la vente de pétrole sans s'occuper de l'étape de production, achetant le pétrole à des producteurs locaux au prix du marché domestique, puis le revendant à l'étranger grace à une licence d'exportation.

    En 1992, un juge de Moscou ordonne l'interrogatoire d'Abramovitch en se référant à l'article 90 du code criminel russe ; à cette époque, Abramovitch était en affaires avec une entreprise lettono-américaine. Il est accusé d'avoir détourné un train transportant des millions de litres de pétrole sur le trajet Oukhta - Moscou, ce train étant sous les ordres d'une entreprise qu'il dirigeait. Le train est retrouvé en Lettonie, et l'enquete révèle que ce pétrole était transporté à Riga (capitale lettone) grace à de faux documents et destiné à etre vendu sur place à l'armée. Abramovitch est placé en garde à vue dans le cadre de cette affaire, et sera blanchi.

    Par la suite, son intéret pour les marchés financiers et le métier de courtier permet à Abramovitch de s'enrichir progressivement et de se créer des contacts. Il fait notamment la connaissance de Boris Berezovski, rencontre qui se révèle etre le tournant de sa carrière. Grace aux contacts de Berezovski dans le monde des affaires et au sein du pouvoir, l'ascension des deux hommes est très rapide.

    Le 24 aout 1995, selon un décret émis par le président Boris Eltsine, l'entreprise Sibneft est créée, destinée à devenir un acteur majeur dans le secteur des hydrocarbures en Russie. Le 11 octobre de la meme année, les actifs de quatre entreprises étatiques dans ce secteur d'activité sont transmis à Sibneft. C'est alors qu'Abramovitch et Berezovski profitent de la politique de privatisation d'entreprises publiques conduite sous la présidence de Boris Eltsine, notamment le programme public « prets contre actions ». Celui-ci permettait à de grands banquiers d’acquérir de grandes entreprises à privatiser en échange du financement du budget de l’État.

    Ils contactent le premier ministre russe pour l'inciter à fusionner plusieurs grands acteurs publics du pétrole de Russie en échange de la promesse que les oligarques soutiendraient la campagne électorale de son parti grace à leurs atouts médiatiques et financiers (Berezovski, par exemple, controlait plusieurs grands médias russes dont la première chaine russe ORT et le journal Kommersant). C'est donc grace à ces procédés parfois opaques que les deux hommes se trouvent en position d'acheteurs lors de la privatisation de Sibneft, fin 1995. Ils emportent l'enchère pour environ 100 millions de dollars et controlent alors 49 % des parts de l'entreprise, le reste restant sous le controle de l'État. Par une série d'enchères successives, l'État revendra ensuite les 51 % restants. Abramovitch acquiert en tout près de 73 % des parts de Sibneft, après rachat des parts de Berezovski. Abramovitch acquiert ensuite des actifs dans l'aluminium achetés à des propriétaires privés et en fusionne le produit avec ceux d'Oleg Deripaska pour former Rusal, l'un des premiers producteurs mondiaux d'aluminium.

    En avril 2003, une fusion est annoncée avec entre autres Sibneft et Ioukos, mais elle ne fut pas suivie d'effet à cause de l'affaire Ioukos. Le président de Ioukos de l'époque, Mikhail Khodorkovski, est arreté et écroué par la suite pour vol par escroquerie à grande échelle et évasion fiscale en octobre 2003. En juin 2003 il devient le propriétaire des entreprises qui controlent le club Chelsea FC au Royaume-Uni.

    En septembre 2005, Abramovitch vend sa participation de 72,7 % à Gazprom, pour un montant de 13 milliards de dollars.

    En mai 2006, via sa holding Millhouse Capital, il achète 41 % de la société Evraz, l'un des trois premiers groupes sidérurgistes russes. Il confirme ainsi sa volonté d'investissement dans la métallurgie. Fin 2006, il acquiert le groupe d'acier américain Oregon Steel via sa société Evraz pour 1,8 milliard d'euros.

    «Crois en toi»
    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Croyez en Vous !!«Je crois en MOI, Je crois a mon Avenir»  

    On a toujours tendance à croire que les milliardaires sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche. On les envie, les jalouse un peu, mais jamais on ne s’imagine ce qu’ils ont enduré pour en arriver là où ils en sont. Parmi ces milliardaires que compte le monde, 70% sont partis de zéro. Et, quand on dit zéro, c’est vraiment zéro : pas d’argent, pas de réseaux, pas de diplomes. R.I.E.N.

    Par exemple, saviez-vous que le père de la 3e personne la plus riche, Amancio Ortega, fondateur de Zara, était cheminot ou alors que les parents de Francois Pinault (Balenciaga, Gucci, Christie’s) étaient négociants en bois ? Et encore, eux avaient leurs parents. Le fondateur d’Oracle, Larry Ellison, a la fortune estimée autour 37 milliards de dollars, était orphelin.Oprah winfrey issus de parents pauvres et violé dans son enfance etc...

    Tous ont le point commun d’avoir travaillé sans compter et, surtout, d’avoir pris énormément de risques au cours de leur vie d’entrepreneur. Par exemple, que ce soit Ingvar Kampar, fondateur d’Ikea, Li Ka-Shing, homme d’affaires le plus riche de Honk-Kong ou Francois Pinault, tous ont testé différents modèles économiques avant de trouver le bon.

    Autre grande qualité que l’on retrouve chez tous les dirigeants cités : etre capable de voir avant les autres les prochaines grandes tendances de demain, croire en la capacité de ses chances,avoir une volonté de réussir. Ce qui n’est pas donné à tout le monde, meme aux plus grands entrepreneurs.

    «Crois en toi»

     

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Norbert Okec est un ancien ingénieur de biochimie de nationalité Ougandaise qui a concu et construit un système de controle des feux de signalisation à énergie solaire. Les feux de signalisation ne sont pas nombreux dans sa ville (Gulu, dans le Nord de l’Ouganda) et ceux qui existent ne fonctionnent pas toujours correctement. C'est en partant de cette observation que Norbert Okec a décidé de développer son système qui est essentiellement composé de matériaux recyclés.

    Le système des feux de signalisation est équipé de LED (diodes électroluminescentes) qui consomme peu d'énergiece qui est un autre avantage du système qui utilise l'énergie solaire comme énergie alternative. En d'autres termes, le système pourrait également utiliser l'électricité du réseau électrique. Une carte mère controle tout le système qui permet d’allumer les feux de signalisation à la couleur appropriée.

    Norbert Okec a réussi à faire qu’un système compliqué (feux tricolores) soit aussi simple que possible. Grace à cette simplicité, le système peut etre facilement concu et entretenu. L'invention est «source», et l'inventeur travaille sur un livre électronique gratuit (avec schéma de la carte mère, entre autres) qui expliquera comment le système peut etre fabriqué.

    Norbert Okec montre que les feux de signalisation peuvent etre fabriqués en Afrique, et installés dans la plupart des carrefours. Alors que l'Afrique est plutot connue pour ses coupures d'électricité, alimenter les feux de signalisation à l'énergie solaire est une alternative écologique que les autorités africaines doivent examiner sérieusement.

    «Crois en toi»

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •                                                                                                                                                                                                                                                     Les dirigeants Africains doivent croire aux inventeurs africains.

    Février 2010
    ---Les dirigeants Africains doivent croire aux inventeurs africains.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mubarak Muhammad Abdullahi est un Nigérian né en 1983. En 2007, agé 24 ans, ce jeune étudiant de premier cycle en physique construit un hélicoptère avec des morceaux de vieilles voitures, de motos et des rebuts d'aluminium, entre autres.

    L'hélicoptère d'Abdullahi est alimenté par un moteur de seconde main d'une puissance de 133 chevaux provenant d'une voiture d'occasion de marque Honda Civic et équipé de sièges d'une voiture de marque Toyota. D'autres éléments de l'hélicoptère proviennent de la carcasse d'un Boeing 747 qui s'était écrasé près de Kano il y a quelques années. L'hélicoptère est long de 12 mètres, large de 5 mètres et haut de 7 mètres. Il a été construit en huit mois et a volé 6 fois sans dépasser une altitude de plus de 2,13 mètres.

    Le poste de pilotage est constitué d'un allumage par bouton-poussoir, un levier pour l'accélération situé entre les sièges qui controle la poussée verticale et une manette qui procure l'équilibre et la portée. Le tableau de bord dispose d'un écran qui se connecte à une caméra placée sous l'hélicoptère pour la vision au sol, tandis qu'une série de six boutons ajuste la luminosité de l'écran.

    Une ou deux minutes après le démarrage du moteur, l'accélérateur peut etre déplacé vers l'avant afin d'entrainer la rotation de l'hélice située au-dessus de l'hélicoptère. Plus on pousse l'accélérateur, plus vite l'hélice tourne. Et quand les 300 tours par minute (tr/min) sont atteints, on peut appuyer sur le joystick (manette) et l'hélicoptère décolle.

    Mubarak Muhammad Abdullahi aurait appris les rudiments du vol d'un hélicoptère sur internet et a eu l'idée d'en construire un en regardant des films à la télévision, surtout des films d'action mettant en scène des hélicoptères.

    Apparemment, le gouvernement nigérian et le Nigerian Civil Aviation Authority (NCAA) n'ont pas trouvé d'intéret en l'hélicoptère d'Abdullahi. Abdullahi admet, cependant, que son premier hélicoptère manque d'équipements de base tels que les appareils pour mesurer la pression atmosphérique, l'altitude, l'humidité, etc. Abdullahi a apparemment commencé à travailler sur un nouvel hélicoptère qui devrait etre plus sophistiqué que le premier. Ce devrait etre un hélicoptère biplace capable de voler à une altitude de 4,57 mètres, soit deux fois l'altitude du premier appareil.

    Attendons de voir si les autorités, au Nigeria ou en Afrique, seront à meme d'apprécier le travail de ce génie africain et de le soutenir car il est certain que cet hélicoptère est loin d'etre moderne. Mais qu'un jeune étudiant parvienne à concevoir, puis faire voler un hélicoptère en se basant sur des plans trouvés sur internet et avec des objets de récupération, prouvent que, bien formés, lui et d'autres Africains peuvent aider à construire des hélicoptères en Afrique.

    Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique